Nous nous sommes entretenu avec notre nouvelle présidente, Marie Redron, élue lors de l’AG de mars.
Q. Marie, peux-tu nous donner dix mots qui te décrivent au mieux?
R. Ingénieur informatique travaillant en finance, maman de deux petits garçons.
Q. Pourquoi as-tu décidé de vivre à Londres?
R. Tout d’abord pour le travail. Je suis dans le domaine de la finance et, si j’étais initialement prête à rentrer en France ou partir de nouveau à l’étranger (encore plus loin!) après un stage et une première expérience de deux ans, j’ai préféré rester et je ne suis jamais repartie.
Q. Connaissais-tu le monde associatif avant de venir à Londres?
R. J’ai découvert et appris à connaître le monde associatif à travers différentes associations étudiantes dans mon école d’ingénieure.
Q. Comment as-tu connu la FAFGB?
R. Grâce à la fille de notre ancienne présidente, Anne Faure. Nous avons fait la même école d’ingénieure, l’ESIEE, et lorsque je m’occupais de l’association des anciens élèves de mon école, elle nous avait conseillé de nous rapprocher de la FAFGB pour se faire connaître.
Q. Depuis quand fais-tu partie du comité et pour quelles raisons as-tu souhaité en faire partie?
R. J’ai commencé à m’investir au sein du comité de la FAFGB en 2017 avec Jérôme, le président de l’époque. Il avait besoin d’aide pour l’administration de la partie IT de la FAFGB, i.e. site web et email, et je me suis portée volontaire, vu mon domaine d’étude.
Q. Pour toi, quelle est l’importance de la Fédération pour les français.e.s de Londres?
R. La Fédération permet, comme son nom l’indique, de fédérer les associations. En d’autres termes, elle se met au service des associations pour les aider à se faire connaître, tant entre elles que de manière externe, et de diffuser leurs évènements. La Fédération permet aux associations de s’entraider entre elles, et fait également le lien entre les associations et les autorités françaises, en particulier le consulat.
Q. As-tu des projets en tête pour la Fédération?
R. J’aimerais pouvoir remettre en place le Salon des associations, qui permettrait aux associations de se faire davantage connaître du grand public. Il n’a pas pu être organisé depuis 2019 dû à la pandémie et est difficile à organiser aujourd’hui car nous n’avons pas à disposition de salle suffisamment grande pour accueillir tout le monde. Si quelqu’un a une idée de lieu…
Q. Que pouvons-nous te souhaiter pour le futur?
R. De continuer à m’épanouir à Londres, tant professionnellement que personnellement.
Q. Et est-ce que tu pars bientôt en vacances ?
R. Pas avant la mi-août mais ce sera dans le sud de la France, en famille.